Bouillon tout chaud pour les amoureux des Biewers

Lettre d’une maman chien au futur maître humain de son chiot…

Bonjour, je suis Rosa la maman du bébé Biewer que tu serres dans tes bras comme si c’était toi qui l’avais mis au monde. D’un côté, je vois que tu ne lui veux que du bien, mais fais attention s’il te plaît ! Il n’a pas l’habitude d’être porté aussi haut !

Oui ! Il tremble ! Non il n’a pas froid ! Il ne te connaît pas… tu sais, mon bébé a déjà des sentiments ! Il n’a connu à présent que nous ces maîtres, ses frères, et soeurs, alors forcément, il ne comprend pas tout ! Il ne comprend pas pourquoi  tu colles ton nez dans son cou. Nous nous disons bonjour en nous reniflant le derrière, nous !!! Mais je lui ai dit que ce jour arriverait et je l’ai préparé ! Regarde… il te lèche déjà !

Non !! Il ne t’a pas choisi ! Il est comme ça… il ne connaît pas autre chose que l’amour !

Non, je ne suis pas triste que tu le prennes avec toi ! Je veux juste que tu le respectes déjà…

Tu poses plein de questions sur lui ! Est-il propre ? Est-il sage ? Les enfants humains sont-ils parfaits si tôt ?

Pourquoi mon bébé devrait l’être et pas le tien ?

Connaît-il la laisse ? Non ! Et si tu veux être complice avec lui, il va falloir que ça soit toi qui le lui apprennes tout ,ca ! Il ne te connaît pas ! Pourquoi devrait-il te suivre ?

Tu ne sais pas comment faire ?

Lui non plus !

Tu vas partir dans ta maison avec mon bébé. S’il te plaît, comprends donc qu’il ne soit pas parfait ! Il va pleurer parce qu’il va se retrouver tout seul ce soir, et il ne connaît ni toi, ni ton chez toi !

Il fera pipi et caca sûrement pas là où tu voudras.

Si les premiers jours sont compliqués pour toi, dis-toi que pour mon bébé, c’est un chamboulement aussi. Prends soin de lui, comprends un peu ce qu’il vit.

Ne laisse pas tes enfants le chicaner ou l’étouffer de tout leur amour. Laisse-le arriver, prendre ses marques et comprendre que c’est sa maison !

Il nous oubliera vite. Il n’aura d’yeux que pour toi. Mais sois patient !

Il te suivra partout et tu devras lui apprendre à rester seul aussi, sinon… il pleurera. Il n’aura pas conscience qu’il gênera ton voisinage !!!

Peut-être mordillera-t-il tes chaussures, les meubles, tes tapis ou tes mains. Mon bébé n’a pas de mains pour toucher à tout ! Il touche avec sa bouche… le tien faisait comment ?

Mon bébé pourra peut-être manger ta tapisserie, moi j’ai vu un petit garçon humain dessiner sur un placard !!!

Mais… mon bébé va grandir plus vite que le tien !

Il deviendra ado ! Oui ! Chez nous aussi nous devenons ados ! Il voudra être le chef et retombera en enfance… et toi, tu vas te tirer les cheveux !!! Mais s’il te plaît, montre-lui que tu n’es pas d’accord, garde ton sang-froid, et n’oublie pas que l’adolescence ne dure qu’un temps !

Et puis il deviendra adulte, et là, il sera ce chien dont tu as rêvé … SI tu l’as bien éduqué ! S’il tire en laisse, par exemple, c’est parce que tu l’as laissé tirer !! S’il saute sur ton canapé plein de boue, en rentrant de la balade… c’est parce que dès le premier jour, tu l’as pris sur tes genoux pour regarder la télé ! S’il mange tes jolis talons tout neufs, c’est parce que tu lui as donné une vieille pantoufle un jour ! Moi-même, je n’ai jamais vraiment compris la différence entre vieille pantoufle et les souliers à talons !

Maintenant que tu pars avec lui, à la porte de l’élevage, commence ton travail ! S’il te plaît, fais-le, pour son bien-être et le tien, ou laisse-le-moi.

Si tu pars avec lui, tu dois le garder toute SA vie et prendre soin de lui ! Si toi tu as une vie à côté, lui, il n’aura que toi… parce que TOI, tu seras toute sa vie !

Ou alors, laisse-le-moi…

Mon bébé n’est pas un caprice ni un jouet… Ni un cadeau… C’est vrai ! Mon bébé est un être vivant, avec des sentiments. Capable du pire, comme du meilleur, et si, tu suis mes conseils, et si, tu tiens tes promesses… alors tu pleureras toutes les larmes de ton cœur a son dernier jour, tu ressentiras un énorme vide, et tu diras que ton chien, ton meilleur ami, TON bébé était …PARFAIT ! (Ce texte, n’est pas de moi)

 
 

Quand je naîtrai, tu me choisiras,
Et pour la vie tu me garderas,
Et si parfois dans ta maison je m’oublie
Pardonne-moi je suis encore petit
Tu verras quand je grandirai
Propre, très sage, je deviendrai,
Je ne te demanderai presque rien
Une caresse et un peu de pain,
En échange, je veillerai sur tes biens
Et ne laisserai personne importuner les tiens
Mon amour et ma fidélité grandiront pour toi
Tu seras mon univers, mon avenir et ma joie
Tu seras mon seigneur et mon maître
Ton esclave et ton enfant je veux être
Sans hésiter, je te donnerai ma vie
Mais, s’il te plait, je t’en supplie
Ne m’abandonne pas….

De temps en temps les gens me disent « voyons, c’est juste un chien » ou « tu en dépenses de l’argent juste pour un chien »… distances parcourues, le temps passé ou les coûts que ça implique pour « juste un chien ».

Pourtant, plusieurs des moments dont je suis le plus fier sont survenus à cause de « juste un chien ».

J’ai passé bien des heures avec, pour seul compagnon, « juste un chien » et je ne me suis jamais senti moindrement seul.

Certains de mes moments les plus tristes sont survenus à cause de « juste un chien » et, dans ces jours sombres, le doux contact de « juste un chien » m’a donné du réconfort et permis de traverser la journée.

Si vous aussi pensez que c’est « juste un chien », alors vous comprendrez probablement des phrases comme « juste un ami », « juste un lever de soleil » ou « juste une promesse ».

« Juste un chien » apporte dans ma vie la véritable essence de l’amitié, de la confiance et d’une joie passionnée.

« Juste un chien » fait ressortir la compassion et la patience qui fait de moi une meilleure personne.

À cause de «juste un chien » je me lèverai de bonne heure, prendrai de longues marches et regarderai vers le futur.

Alors pour moi et les gens comme moi, ce n’est pas « juste un chien » mais l’incarnation de tous les espoirs et rêves du futur, le doux souvenir du passé et la pure joie du moment.

« Juste un chien » fait sortir ce qu’il y a de bon en moi et me détourne de mes pensées et des problèmes de la journée.

J’espère qu’un jour ils pourront comprendre que ce n’est pas « juste un chien » mais l’être qui m’a donné l’humanité et qui m’a préservé de n’être que… « juste un homme ou une femme ».

Alors, la prochaine fois que vous entendrez la phrase « juste un chien »… souriez, parce que c’est « juste qu’ils n’ont pas compris ».

Texte de Richard Biby.

Avoir un chien, ce n’est pas possédé.

Avoir un chien, c’est être.

Ce n’est pas être « propriétaire », c’est être « responsable ».

Ce n’est pas être « maître », c’est être « partenaire ».

Le vrai « maître », c’est le chien.

Pas parce qu’il nous domine, mais parce qu’il nous enseigne.

Avoir un chien, c’est exister.

C’est exister pour un être qui n’a d’yeux que pour vous. Qui ne vit que pour vous.

Ce n’est pas céder à un « il est trop mignon », à un caprice ou à une pulsion.

Même s’il en faut un peu, du caprice.

Il faut être capricieux envers soi-même pour avoir le courage de sauter le pas, de se dire un jour « je ne serai plus un. » Deux, on peut l’être pendant plus de 15 ans.

Il faut une part de courage pour décider d’avoir deux ombres pendant si longtemps.

Mais avoir un chien, ce n’est pas « je prends ce qui m’arrange ».

Ce n’est pas prendre le mignon, la douceur et l’affection, et faire abstraction du reste.

Ce n’est pas demander à un animal d’être une peluche ou un robot. C’est accepter l’imperfection.

C’est se faire à l’idée que tous les chiens ne sont pas exactement comme on les avait rêvés.

C’est s’adapter à lui autant que lui fait d’efforts pour s’adapter à nous.

C’est apprendre à le comprendre et même à l’anticiper.

C’est lâcher son écran pour lancer une balle.

C’est enlever ses chaussons et mettre ses chaussures.

C’est quitter sa couette pour sortir dans le froid et sous la pluie.

C’est ramasser des crottes, éponger des vomis ou d’éventuels pipis.

C’est aller chez le vétérinaire de nuit, un jour férié.

C’est faire face aux contrariétés, de la bêtise la plus anecdotique à la douleur la plus insurmontable.

C’est dépasser les incompréhensions en se donnant les moyens de bâtir une relation forte, saine et harmonieuse.

Et digne, jusqu’au bout.

Avoir un chien, c’est avoir ce que les autres appellent des « contraintes ».

Mais avoir un chien, c’est être convaincu que ce que les autres appellent des « contraintes » n’en est pas réellement.

Parce que tout ce qui peut être considéré comme une contrainte est précisément ce dont le chien a besoin.

Par amour, il faut répondre à ces besoins.

Et aucune preuve d’amour sur Terre n’est une contrainte.

Contenu de va-et-vient
Ton chien
Je suis celui qui t’attend .
Ta voiture fait un bruit spécial et
je la reconnaîtrais entre mille.
Tes pas résonnent de manière magique,
c’est une musique pour moi.
Ta voie est le signe le plus évident de mon bonheur,
 il n’est pas nécessaire de parler : j’entends ta tristesse.
Si je vois ton bonheur, je suis heureux!
Je ne fais pas de différence entre une bonne et une mauvaise odeur,
 je sais uniquement que ton arôme est le meilleur.
Certaines présences me plaisent, d’autres moins.
Mais ta présence est celle qui émeut mes sens.
Ton réveil, me réveille.
Toi, qui dors à la maison, tu es mon Dieu et moi,
je suis le gardien de tes rêves.
Ton regard est un rayon de soleil,
lorsque je m’aperçois que tu te réveilles …
Ses mains sur moi ont la légèreté de la paix.
Et lorsque tu pars, tout est vide à nouveau.
Et moi, je continue à t’attendre, encore et encore .
J’attends le bruit de ta voiture
Le son de tes pas
 
De ta voix
J’attends ton humeur toujours lunatique
Ton odeur
Ton repos sous ma vigilance
J’attends tes yeux
Tes mains
Et moi, je suis content ainsi.
Je suis celui qui t’attends
Je suis ton chien

 



Je suis un petit chien
Mais j’ai déjà quinze ans.
Si je présente bien,
Mon âge, je le sens.

Mon cœur est fatigué,
J’ai des douleurs partout,
Ma vue a bien baissé,
Je n’entends plus du tout.

J’aimais bien la montagne
Quand j’étais casse cou.
Le vertige me gagne,
Je fatigue beaucoup.

Je vais plus doucement
Et je marche très peu.
Je dors bien plus longtemps,
J’ai caché tous mes jeux.

Quand une chienne passe,
Je redeviens fringant,
Je fais preuve d’audace,
Je me sens élégant.

Mais dès qu’elle est partie,
Je retrouve mon âge
Et mon dos s’arrondit :
Ce n’était qu’un mirage.

Mes maîtres m’aiment autant
Que quand j’étais petit.
Ils me disent souvent
Que j’ai changé leur vie.

La mienne aura été
Faite de grandes joies,
J’aurai été choyé,
J’aurai été un roi.

Quand il faudra partir,
Je ne gémirai pas.
Je voudrais m’endormir
Blotti entre leurs bras.

Contenu de va-et-vient
Contenu de va-et-vient
 
Il y a un pont qui relie le Paradis et la Terre.
On l’appelle le ‘Pont de l’Arc-en-ciel’ à cause de ses nombreuses couleurs.
Au bout du Pont de l’Arc-en-ciel, il y a un pays de prairies,
de collines et de vallées luxuriantes.
Quand un de nos compagnons fidèle décède, il va là-bas.
Il y a toujours de l’eau et de la nourriture et un soleil d’un temps printanier.
Les animaux vieux et faibles sont jeunes à nouveau.
Ceux qui ont été blessés ou mutilés sont de nouveau en pleine forme.
Ils jouent ensemble toute la journée, Ils y sont heureux.
Une chose manque tout de même :
ils ne sont pas avec ceux qui les ont aimés sur terre.
Alors, chaque jour ils courent et jouent, jusqu’au moment où l’un d’eux
s’arrête soudain de jouer et regarde en l’air. Son nez s’agite !
Ses yeux fixent l’horizon ! Et tout d’un coup, il s’éloigne en courant
du groupe, volant au-dessus de l’herbe verte,
ses jambes le portant de plus en plus vite.
Il vous a vu, et, quand vous vous rencontrez,
vous prenez votre compagnon dans vos bras, et vous l’étreignez.
Les bisous pleuvent sur votre visage encore et encore et encore,
et vous caresser enfin à nouveau  votre ami tant adoré.
Alors vous traversez ensemble le Pont de l’Arc-en-ciel,
pour ne plus jamais être séparé.
Auteur inconnu


S,il arrivait que je devienne faible et fragile
Que la souffrance me tienne en état de veille
         Le moment venu……..
Fera tu ce qui doit être fait
Pour une dernière bataille
Celle qui ne peut être gagner?
Tu sera triste je le sait
Surtout ne laisse pas l’amertume t’envahir
Car en ce jour plus que tout autre
Ton amour, ton amitier ,doivent me soutenir
En souvenir de toutes ces années heureuses
Que la souffrance ne doit pas ternir
          Le moment venu……..
Je t’en prie accepte qu’il soit temps
Pour moi de partir.
Accompagne moi vers ce havre de paix
Là ou toute souffrance disparait
Me parlant, me rassurant
Jusqu’a ce que mes yeux se ferme à jamais 
          Le moment venu………
Je sait que tu comprendra
Que cet ultime geste envers moi
Est le plus grand
Souviens-toi seulement
Lorsque mon absence te semblera cruelle 
Que toi seul pouvait m’épargner 
De pire douleurs et souffrances
          Le moment venu……….
Tu a fait ce qu’il fallait
Et si tu pleure soit sans regrets
Pour ce chemin de vie partagé
Dans l’affection et l’amitié.

Fermer le menu
Aller à la barre d’outils